UNE WEBSÉRIE ET UN FILM DE ERIC PICCOLI
FICTION | 2010 | FILM: 115 MINUTES | SÉRIE: 17 X 7 MIN. | FRANÇAIS

Le 13 septembre 2013, Joël apprend que son père, victime d’un AVC, est hospitalisé à Rouyn-Noranda. Au même moment, un cataclysme survient… l’électricité est coupée et la neige tombe soudainement sur Montréal. 255 jours plus tard, il n’y a plus rien, tout est gelé et rien n’est revenu comme avant. Joël et Chloé, une autre survivante, poursuivent leur périple vers le sud à la recherche de survivants et d’un peu de chaleur.  Et si le monde avait pris un temps mort? Si c’était vraiment la fin…

Images
Équipe Technique

Réalisateur Eric Piccoli
Scénaristes Eric Piccoli, Mario J. Ramos avec l’aide de Félix Rose
Producteur Marco Frascarelli
Coproducteurs Eric Piccoli, Roberto Mei
Producteur au contenu (Radio-Canada) Pierre-Mathieu Fortin
Une création de Babel films
Avec la participation de Ici — Tou.tv (Radio-Canada)
Direction de la photographie Élisa Ruggiero
Direction artistique David Émond-Ferrat
Costumes Mia Van Der Heyden, Marie-France Richard
Montage Félix Rose, Eric Piccoli
Effets visuels Alexandre Morin, Eric Piccoli
Preneur de son Simon Gaudreau
Conception sonore, mix Alexandre Charrier
Musique originale Guillaume Fortin

Casting

Julien Deschamps Jolin
Elisabeth Locas
Marc Fournier
Joel Gauthier
Marie-Ginette Guay
Igor Ovadis
Lily Thibeault
Stéphane Vigeant

Sélections en Festivals et Prix
  • Nomination: International Digital Emmy Awards – 2012, États-Unis
  • Nomination: Prix Gémeaux – 2011, Canada
  • Gagnant: Best Online Program – Banff World Media Festival – 2011, Canada
  • Nomination: Prix NUMIX – 2011, Canada
  • Web Program Festival – 2011, France
  • Fantasia International Film Festival – 2010, Canada
Revue de Presse

« Temps mort n’a rien à envier aux films qui sortent en salle! » — Amélie Gaudreau, Le Devoir

« À découvrir! » — Journal Metro

« Enfin, on fait du genre au Québec et ça fait du bien!» — Sébastien Diaz, C’est juste de la TV

« La distribution est bonne et c’est bien réalisé. » — Marc Cassivi, C’est juste de la TV